Pendant que Rafael Nadal gagnait hier son 854ème Roland-Garros – je suis la seule à trouver que depuis cinq ans, il y a plus de suspense dans “Joséphine ange gardien” que sur les cours de tennis ? -, le hamster est devenu le nouveau roi des animaux sur internet.
Exit Grumpy Cat, Lil Bub, Zarathustra et leur clique de chtars (=chats stars), remboursez Biddy et Murataro les hérissons, la nouvelle folie sur internet, c’est le cul de hamster. Cette pratique porno-cute est tellement répandue au Japon qu’elle porte un nom : “Hamuketsu” (“fesses de hamster” en VF), et la page Facebook dédiée à nano-culs velus compte déjà 11000 likes.
Ca laisse rêveuse.
J’en profite pour racoler le lectorat qui n’aurait pas liké ma page Facebook à me donner un coup de pouce : ça prend une seconde, c’est gratuit, et ça fait des heureux (moi, au moins. (1,74 de bonheur au garot, c’est plus rentable que de liker Tyrion Lannister)). Pardon pour la dérange, je t’enlève mes seins du nez, revenons aux culs de hamsters.
A ce stade de lecture, l’audience pourrait légitimement penser qu’on n’aime le hamster que pour son cul.
Eh bien non !
Car à l’instar de Nabilla, qui défilait l’année dernière pour Jean Paul Gaultier, le hamster est aussi une égérie mode.
Repéré sur Asos.com
C’est la muse des Hedi Slimane de demain sur Etsy
Le hamster est même à la japonaise Maki Yamada ce que Sofia Coppola est à Marc Jacobs : une muse.
Coeur avec les doigts,
F.
PS : en bonus track, deux oeuvres d’art qui augurent à la nouvelle Mona Lisa un bel avenir à la Fiac.
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